Orchestre de Paris: David Fray

A propos du spectacle

Vingt‐cinquième concerto pour piano de Mozart, Septième symphonie de Beethoven. On n’imagine pas un programme plus rayonnant et euphorique!

Le Vingt‐cinquième concerto de Mozart est de ceux dans lesquels on croit entendre à chaque instant La Flûte Enchantée, où le piano joue à cache‐cache avec l’auditeur, passant du chant à l’accompagnement en transformiste virtuose. David Fray a l’esprit culotté et les doigts prestidigitateurs pour répondre à son espièglerie délicate. Au succès que Mozart rencontrait à cette époque, Christoph Eschenbach répond avec le plus grand triomphe de Beethoven.

Un concert joyeux dans la Salle Pleyel, Paris.